Après un premier roman aussi réussi que Trancher (Flammarion, 2018) qui braquait sa lumière crue sur la violence au sein du couple, j’attendais le deuxième avec l’impatience de la lectrice qui devine qu’Amélie Cordonnier n’hésitera pas à s’emparer à nouveau d’un sujet fort.
Et je n’ai pas été déçue.
Le sujet d’Un loup quelque part est d’autant plus dérangeant qu’il est tabou.